Dame Lucilla Maximus
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Dame Lucilla Maximus
Je viens d'arriver dans ce nouveau monde.
Des concours de circonstance mon pousser jusqu'ici.
Je suis veuve d'un très riche propriétaire terrien. Il possède des terres en Nouvelle France sur ce continent, bien que nos origines soit Italienne pour lui et Grec pour moi.
Mais je viens vers vous en portant mon nom de jeune fille. En aucun cas je ne souhaite porter le nom de mon défunt mari.
Je suis née le 3 avril 1699. je suis te traille moyenne, brune au yeux bleu.
J'aime l'art, je pratique moi même le chant, et quelque instrument de musique. Étant née d'une famille noble j'ai eut droit à la meilleur éducation qu'il soit. J'aime également la peinture et passe une bonne partie de mon temps à la pratique de cet art.
Marié de force à 17ans, je garde un lourd secret enfouie en moi.
C'est donc dans la ville de Nikaia, ville qu'il avait érigé pour moi sur une des iles française et qui porte un nom grec.
Lucilla essayer de donner une allure plus grec à l'intérieur de la maison, mais son extérieure restait inchangé.
Elle n'aimait pas cette maison, mais elle avait réussit à y aménager un petit patio intime pour elle et ses proche.
Elle avait réussi à redonner une sobriété à sa chambre
Elle c'était fait un petit salon intime aussi afin de recevoir ses anciens amie
La maison possédait également une grande salle de réception, dont le sole serait recouvert de marbre blanc.
Lucilla se promenait dans sa maison, dans sa ville...
Les gens la regardaient à peine, l'image de son mari hanterait décidément cette ville à jamais, et cette image lui collait à la peau à elle, elle qui n'avait rien fait et qui ne connaissait pas les agissements de son mari.
Elle avait trouvé une peinture de lui lorsqu'il était encore jeune.
Elle ne comprenais pas pourquoi, en voyant l'image démoniaque de cet homme, ses parents l'avaient marié à un tel individu.
Elle se rappelait des coups pour la faire plier, mais elle se réconfortait de savoir que jamais il n'avait pu la toucher dans son intimité la plus profonde.
Lucius Malfoy était un homme sordide et bien qu'elle se refuse à porter son nom d'épouse, les armoiries de son époux sont encore un peu partout et inspirent la peur.
Les armoiries représente un masque lugubre et beau à la fois, difficile d'en détacher son regard.
Pourtant il fallait qu’elle les enlève, elle se rendait compte de l'impact sur les villageois.
Elle ne garderait le plus beau que dans sa chambre à coucher, personne ainsi ne sera obligé de le voir. Il fallait qu'elle se trouve ses propres couleurs. Elle ne pouvait reprendre celles de ses parents, ses frères lui reprocheraient.
Elle y réfléchirait.
C'est ainsi qu'elle passa une journée de plus à décrocher et faire décrocher ou repeindre toute les portes, portail et autres lieux ou l'on pouvait voir ce masque.
Seul celui au dessus de la porte d'entrée ne pouvait être enlevé. il lui fallait trouver un autre moyen pour le dissimuler.
Un jour elle trouva même un médaillon, qu'elle se garda bien de porter mais elle ne le fit pas disparaitre, elle le glissa dans une bourse qu'elle gardait toujours avec elle.
Elle trouva ses armoiries, il reprendrait le nom de la ville mais en latin et nom en grec, le latin étant une langue plus utilisé.
Des concours de circonstance mon pousser jusqu'ici.
Je suis veuve d'un très riche propriétaire terrien. Il possède des terres en Nouvelle France sur ce continent, bien que nos origines soit Italienne pour lui et Grec pour moi.
Mais je viens vers vous en portant mon nom de jeune fille. En aucun cas je ne souhaite porter le nom de mon défunt mari.
Je suis née le 3 avril 1699. je suis te traille moyenne, brune au yeux bleu.
J'aime l'art, je pratique moi même le chant, et quelque instrument de musique. Étant née d'une famille noble j'ai eut droit à la meilleur éducation qu'il soit. J'aime également la peinture et passe une bonne partie de mon temps à la pratique de cet art.
Marié de force à 17ans, je garde un lourd secret enfouie en moi.
C'est donc dans la ville de Nikaia, ville qu'il avait érigé pour moi sur une des iles française et qui porte un nom grec.
Lucilla essayer de donner une allure plus grec à l'intérieur de la maison, mais son extérieure restait inchangé.
Elle n'aimait pas cette maison, mais elle avait réussit à y aménager un petit patio intime pour elle et ses proche.
Elle avait réussi à redonner une sobriété à sa chambre
Elle c'était fait un petit salon intime aussi afin de recevoir ses anciens amie
La maison possédait également une grande salle de réception, dont le sole serait recouvert de marbre blanc.
Lucilla se promenait dans sa maison, dans sa ville...
Les gens la regardaient à peine, l'image de son mari hanterait décidément cette ville à jamais, et cette image lui collait à la peau à elle, elle qui n'avait rien fait et qui ne connaissait pas les agissements de son mari.
Elle avait trouvé une peinture de lui lorsqu'il était encore jeune.
Elle ne comprenais pas pourquoi, en voyant l'image démoniaque de cet homme, ses parents l'avaient marié à un tel individu.
Elle se rappelait des coups pour la faire plier, mais elle se réconfortait de savoir que jamais il n'avait pu la toucher dans son intimité la plus profonde.
Lucius Malfoy était un homme sordide et bien qu'elle se refuse à porter son nom d'épouse, les armoiries de son époux sont encore un peu partout et inspirent la peur.
Les armoiries représente un masque lugubre et beau à la fois, difficile d'en détacher son regard.
Pourtant il fallait qu’elle les enlève, elle se rendait compte de l'impact sur les villageois.
Elle ne garderait le plus beau que dans sa chambre à coucher, personne ainsi ne sera obligé de le voir. Il fallait qu'elle se trouve ses propres couleurs. Elle ne pouvait reprendre celles de ses parents, ses frères lui reprocheraient.
Elle y réfléchirait.
C'est ainsi qu'elle passa une journée de plus à décrocher et faire décrocher ou repeindre toute les portes, portail et autres lieux ou l'on pouvait voir ce masque.
Seul celui au dessus de la porte d'entrée ne pouvait être enlevé. il lui fallait trouver un autre moyen pour le dissimuler.
Un jour elle trouva même un médaillon, qu'elle se garda bien de porter mais elle ne le fit pas disparaitre, elle le glissa dans une bourse qu'elle gardait toujours avec elle.
Elle trouva ses armoiries, il reprendrait le nom de la ville mais en latin et nom en grec, le latin étant une langue plus utilisé.
Dame Lucilla Maximus- Nombre de messages : 1233
Date d'inscription : 02/02/2009
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